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Un zeste de Sodome…

Publié le 20 août 2010 par Julianomessoa
Peu fan de "l'autre voie" au contraire de la majorité des hommes qui voit peut-être en elle une façon définitive de soumettre le sujet féminin, je ne l'utilise que lorsqu'elle m'est réclamée à cors et à cris. Je reste assez "old style", encore englué dans l'adage enfantin qui veut que l'on ne fasse pas à autrui ce que l'on ne souhaite pas subir soi-même... et je ne peux encore me résoudre à l'idée de me faire embrocher, mais peut-être cela viendra-t-il un jour ! Qui sait... Tout ça pour vous conter ma dernière prise de température. Encore une intellectuelle. Vous allez me dire qu'elles m'attirent... et bien oui !! Sans doute ma petite quête personnelle de la femme idéale, avec du chou mais aussi un sexe qui donne de la voix. Pas facile. Je pensais me heurter encore une fois à ce mur du "çon" lorsque la belle cérébrale dont il est question changea brutalement d'attitude après quelques ébats assez ennuyeux dont je n'arrivais pas à infléchir le cours trop convenu malgré quelques tentatives vicieuses. Elle restait pourtant réceptive, m'avouant découvrir avec moi une part de sensualité dont elle pensait ne pas être pourvue, l'extase n'ayant jamais cogné bruyamment à sa porte. Elle devenait demandeuse, se montrait plus insistante et parfois carrément chaudasse à mesure que mon envie s'émoussait sur son incapacité à jouir. Je décidais donc de maintenir cette distance qui semblait la mettre dans un état second, mon approche naturelle beaucoup plus insistante et bavarde n'ayant fait jusque là que la distraire gentiment. Je me délectais de la situation et profitais sans rien y faire paraître de ses nouvelles dispositions - fellations profondes, massages appuyés de couilles, positions "pipi" - tout en continuant à feindre mon ennui. Elle devenait folle. Je n'étais plus le maître du jeu, mon sexe devenait l'objet de tout sont intérêt et la petite personne qui y était attachée ne semblait plus l'intéresser. J'ai même cru un instant qu'elle souhaitait réellement séparer ma bite du reste de mon corps tant ma douleur était forte au sortir de certaines séances. Son cycle vint enfin, me proposant une trêve bien méritée, une parenthèse reconstructrice. J'avais sous-estimé l'ampleur de la métamorphose ! Elle se détestait, invoquais toutes les injustices de Dame Nature de la priver ainsi de l'os qu'elle convoitait. Os qu'elle parvint à faire se dresser encore plus qu'à l'accoutumée la rendant hystérique jusqu'au moment où, n'y tenant plus, cédant à tous ses principes, elle le fit pointer devant son trou du cul avant de vouloir se l'emmancher de force sans aucune forme d'onction salvatrice. Effrayé par les dégâts collatéraux que cela aurait pu causer, je réussis malgré tout à la raisonner quelques secondes le temps d'aller chercher quelque lubrifiant propice à satisfaire pleinement sa fantaisie, onguent que je pensais encore posséder au fond de ma pharmacie. Ma mémoire ne me trahit pas et ma belle fut parfaitement sodomisée dans les règles d'un art que je ne pensais pas moi-même posséder. Elle ne réclame plus que cela depuis. Moralité : les circonstances idéales sont bien complices des expériences les plus savoureuses !

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