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Les histoires "d'eau" finissent mal en général! ...

Publié le 01 avril 2011 par Marigotine

 

                   " L'eau paiera "

               D'Umberto Giordano

L’EAU PAIERA ! D’une hauteur de 15 mètres pour un poids de 60 tonnes, cette statue qui émerge du lac de Constance constitue le décor principal de l’opéra Andrea Chenier, dont la première sera donnée le 20 juillet prochain au Festival de Bregenz, en Autriche, à proximité de la frontière suisse. Pour arrimer cet incroyable décor à l’immense scène flottante, un échafaudage spécial et une grue ont été nécessaires. Cet opéra d’Umberto Giordano, créé en 1896, raconte l’histoire du poète André Chénier, qui fut guillotiné durant la Révolution française. Ses dernières paroles, prononcées en touchant sa tête avant de monter sur l’échafaud, auraient été :« Pourtant, j’avais quelque chose là !» " border="0" /> D’une hauteur de 15 mètres pour un poids de 60 tonnes, cette statue qui émerge du lac de Constance constitue le décor principal de l’opéra Andrea Chenier, dont la première sera donnée le 20 juillet prochain au Festival de Bregenz, en Autriche, à proximité de la frontière suisse. Pour arrimer cet incroyable décor à l’immense scène flottante, un échafaudage spécial et une grue ont été nécessaires. Cet opéra d’Umberto Giordano, créé en 1896, raconte l’histoire du poète André Chénier, qui fut guillotiné durant la Révolution française. Ses dernières paroles, prononcées en touchant sa tête avant de monter sur l’échafaud, auraient été :« Pourtant, j’avais quelque chose là !» (Felix Kaestle/AP/SIPA)    Tout comme un "cautère" sur une jambe de bois!
   Des vagues de plastic bleu pour décontaminer...    Saluons le courage exemplaire de tous ces Japonais.    DANS LE BLEU. Protégés par leurs combinaisons NBC (nucléaire, bactériologique, chimique), ces spécialistes des forces d’autodéfense japonaises tentent de décontaminer des employés de la centrale japonaise de Fukushima Daiichi, qui ont reçu des projections d’eau radioactive. Les techniciens qui luttent depuis bientôt vingt jours pour éviter le pire à Fukushima sont confrontés à une situation sans précédent. Plus ils envoient d’eau pour éviter la fusion des réacteurs, plus la radioactivité, entraînée par le flot, s’étend dans les salles et les galeries de la centrale. Mais s’ils ne font rien, inexorablement la température monte dans les réacteurs, au risque de provoquer une nouvelle catastrophe. " border="0" /> DANS LE BLEU. Protégés par leurs combinaisons NBC (nucléaire, bactériologique, chimique), ces spécialistes des forces d’autodéfense japonaises tentent de décontaminer des employés de la centrale japonaise de Fukushima Daiichi, qui ont reçu des projections d’eau radioactive. Les techniciens qui luttent depuis bientôt vingt jours pour éviter le pire à Fukushima sont confrontés à une situation sans précédent. Plus ils envoient d’eau pour éviter la fusion des réacteurs, plus la radioactivité, entraînée par le flot, s’étend dans les salles et les galeries de la centrale. Mais s’ils ne font rien, inexorablement la température monte dans les réacteurs, au risque de provoquer une nouvelle catastrophe. (Takuya Yoshino/AP/SIPA)      Une  "Eau-Tomobile"    Pas complètement               "Or-Dinaire"
Cette voiture a beau être en or, les règles du code de la route sont les mêmes pour tous. Mardi 29 mars, mal stationnée dans une des rues de la ville de Nanjing, dans la province chinoise du Jiangsu, son propriétaire devra la récupérer à la fourrière en contrepartie d’une amende, minime face à la valeur de ce véhicule. (Quirky China News/Rex/REX/SIPA)    Eau-delà des frontières, peut-être la Liberté!
   " Eau-torité " Italienne    Contre les évasions Tunisiennes.... Lundi 28 mars de nouvelles évasions de clandestins tunisiens du camp de tentes de Manduria, dans les Pouilles (sud de l’Italie continentale) se sont produites, après celles du Village de la Solidarité de Mineo (Sicile). Le ministre italien de l’Intérieur, Roberto Maroni, a menacé Tunis de rapatrier de force les immigrés arrivés ces derniers temps si les autorités ne bloquent pas les départs à partir de leurs côtes. (Rex Features/REX/SIPA)    La Faute-sur-mer            La faute à qui?              La faute à l'eau Lundi 28 mars, à la Faute-sur-Mer, les premiers coups de pelleteuses pour démolir les maisons condamnées par la tempête Xynthia, ravivent les douloureux souvenirs. Treize mois après la catastrophe, et alors que de nombreuses familles sont toujours dans la précarité, ce gigantesque chantier devrait durer quatre ans. (Frank Perry/AFP) Marigotine

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