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Le pouvoir de l imaginaire(126):les neutrinos en theorie thermodynamiques des cordes (3)- mutants faciles!

Publié le 14 octobre 2011 par 000111aaa

Dans la note d’aujourd’hui on s’efforcera de tirer des données expérimentales sur les 3 saveurs de neutrinos  , sur l’équation exponentielle mais empirique qui les caractérise et sur le modèle géométrique de corde qui est proposé, une description plus complète des phénomènes mis en jeu….. Et on traitera aussi des critiques que l’on peut d’ores et déjà porter à ce modèle….

AUTRES PROBLEMES THERMODYNAMIQUES A REGLER

1/Le modèle présenté reste schématique et n’ est valable en toute rigueur que pour un mélange de neutrinos au repos ( définis comme d’énergie cinétique nulle) .En effet on voit que dans le phénomène d’oscillation , un neutrino d’une saveur donnée , créé lors d'une interaction ,est ensuite une combinaison linéaire des trois états propres de propagation. Par suite si :

- les états propres du lagrangien d'interaction et du lagrangien de propagation sont différents

-les neutrinos présentent au départ des masses différentes,

les termes de l’énergie cinétique ,pour une population N de neutrinos ,  deviennent en réalité plus complexes que l’équation proposée dans la note n°2 et de la forme :Ʃ1/2 m₁ѵ^2+Ʃ1/2 mv^2+Ʃ1/2 m₃v^2 ,les distributions Ʃ décrivant statistiquement le spectre des vitesses de chaque état.

2/ De plus il n’est pas interdit de suggérer  que la détermination de la valeur de chacun des  Ʃ échappe à une quelconque loi de répartition des micro-niveaux de l’énergie telle que par exemple celle de MAXWELL-BOLTZMANN en thermodynamique statistique … Commeces trois états propres se propagent à des vitesses différentes ,en fonction de la distance parcourue et de l'énergie des neutrinos initiaux , la combinaison de ν1, ν2 et ν3 évoluera et  donc les valeurs des Ʃ seront en fait mal calculables en déplacement.

3/ L exploitation de l’équation empirique  trouvée montre que si le neutrino avec ce modèle géométrique reste thermodynamiquement isolé ,le 1er principe s’applique ,il reste le même  , et la  saveur stable ;l’ onde parcourt sa Corde de manière périodique reguliere…En revanche, si son énergie totale varie ,le modèle géométrique ne change pas mais  l’onde de Corde DEVIENT AU PASSAGE soit exponentiellement ralentie  soit exponentiellement accélérée ….PUIS continue a parcourir sa corde périodiquement et sur ces nouvelles données, tant qu’ il ne change pas a nouveau de saveur . ETC.

S’il y a changement de saveur par décroissance d’énergie, mais sans interaction avec l’extérieur, le 1 er principe exige que cette énergie passe alors sous forme cinétique pour l’ensemble du nouveau neutrino ..

LE PROBLEME DE L’OSCILLATON….A LA FOIS OBLIGATOIRE ET ALEATOIRE !

L’effet tunnel  invoqué dans la transition « spontanée »d’une saveur a une autre ,dans l’article n°2 ,est un phénomène qui s’expliquerait  clairement dans le domaine quantique ……..Pour toute particule quantique l’onde de probabilité de présence associée à la particule peut ne  pas  rester confinée dans le puits de potentiel et s’étendre au-delà. La  particule peut donc se retrouver de l’autre côté du puits, comme si elle avait emprunté un tunnel ! Mais dans le domaine sub-quantique ceci  peut difficilement se comprendre entre des trajectoires d’ondes strictement confinées sur leur Corde fermée et dont  les différences de niveau d’énergies sont très grandes puisque s’exprimant par une équation exponentielle… (voir tableau et graphiques)

 

L’image présentée dans l’article n°2 qui traduit la transformation d’une énergie potentielle d’un gaz confiné dans un ballon, qu’ on parviendrait à percer pour transformer  la poussée des gaz sortants en énergie cinétique n’ est bien entendu que le schéma élémentaire  correspondant à une analogie d’échelle macroscopique et triviale …..Tout autant que celle d’un train électrique jouet, tournant sur un circuit circulaire fermé , placé sur un plateau et qui passant dans un tunnel  perdrait des wagons ou en prendrait en allant beaucoup moins ou beaucoup plus vite à la sortie mais  déplacerait ou ralentirait tout le plateau  lui-même l!!. Ces images sont avant tout pédagogiques ( a destination d’un de mes lecteurs XYZ )et ne figureront pas sur la note à paraitre. En fait, dans une oscillation descendante , il faut imaginer un TRANSFERT D’ENERGIE à partir d’une onde sur une Corde de géométrie sphérique  d’énergie, longueur d’onde et période  E₀ ,λ₀,T₀  et déjà globalement animée d’une énergie cinétique ½ m₁v₁^2 sur la même géométrie d’ onde de Corde de moindre énergie E₁,λ₁,T₁ , l’ensemble devenant animé d’une vitesse  et d’une énergie cinétique supérieures ½ m₂v₂^2. Il a déjà été expliqué dans la note n°2 et ci-dessus que la résolution claire de ces changements est décrites à l'aide d'une matrice informant des divers paramètres entrant en jeu dans l'oscillation. La détermination des angles de mélanges θ des trois sortes de neutrinos « en déplacement » est essentielle et l'un de ces paramètres, l'angle de Weinberg θ13  constitue l’ inconnue à affiner encore …..

3/TENTATIVE DE CALCUL SHEMATIQUE – AVEC PREMIERES HYPOTHESES !!

Si le modèle de Corde  RETENU  est sphérique ( topologiquement convexe) ,

-qu’on considère le cas du neutrino tauique : m inferieur ou égal a 15,5 MeV/c^2

- que la longueur d’onde est la longueur de Planck 1 ,816 . 10^-35 m ( Voir dessin de la sphère article n°2)

Si la vitesse d’onde sur la Corde est égale à la vitesse de la lumière ,alors la longueur d’onde sera parcourue en 0,6 .10^-43 seconde

 

SI on envisage une transition tauique> muonique la perte d’énergie de l’onde sur la Corde sera de ΔW=15,5-0,17=15,3MeV/c^2 et sera transformée en énergie cinétique globale pour le neutrino muonique{ avec les hypothèses que m ƞ(Ƭ)=m ƞ(3) et m ƞ( muon )=m ƞ(2)}

SI le neutrino tauique est au repos au départ ,le neutrino muonique  en lequel il sera transformé « recevra » une énergie sous forme cinétique de ½ mv^2  , soit de ½  .0,17.v^2=15,3 exprimée en unités MeV/c^2

Soit :v=√30,6 /0,17=√18=4.23 en unités MeV/c^2

Or on a vu ( graphique ) que l’énergie de configuration E(c=0) étant de l’ordre de 10^-7 MeV /c^2 donc  très inferieure a l’énergie reçue ne constitue pas une barrière a l’oscillation ; de lá provient « l’effet quasi –tunnel » observé expérimentalement. Conclusion  :les neutrinos sont des « mutants faciles » !

A suivre

 


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