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{Ciné} Inherent vice

Par Alittlepieceof @Alittle_piece

{Ciné} Inherent vice

L’ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en lui racontant qu’elle est tombée amoureuse d’un promoteur immobilier milliardaire : elle craint que l’épouse de ce dernier et son amant ne conspirent tous les deux pour faire interner le milliardaire… Mais ce n’est pas si simple…
C’est la toute fin des psychédéliques années 60, et la paranoïa règne en maître. Doc sait bien que, tout comme « trip » ou « démentiel », « amour » est l’un de ces mots galvaudés à force d’être utilisés – sauf que celui-là n’attire que les ennuis.

Ok j’étais déjà dans un état de fatigue très avancé lorsque je suis arrivée au ciné mais tout de même… de là à ne rien comprendre ou presque au film…
Le scenario, tiré d’un roman, est totalement bordélique ! Ça part dans tous les sens, les histoires s’entremêlent, pfiou, je crois que c’était trop en demander à mon petit cerveau ce soir là.
Ce qui me rassure c’est que je suis loin d’être la seule à ne pas avoir tout pigé d’après les critiques.
L’histoire en elle même est d’ailleurs plutôt bateau… un complot, qui s’avère être plus tordu qu’il n’y paraissait au départ avec à la clé à un gros cartel de la drogue. Ouais, bon, ça sent le déjà vu.
Pour être tordu, c’est tordu d’ailleurs. Totalement foutraque.
Ce qui est plutôt chouette dans tout ça c’est l’ambiance hippie (drogue, sex et cie) et le personnage interprété par Joaquin Pheonix, alias « Doc » qui est extrêmement drôle. Il plane la plupart du temps, change de coupe de cheveux comme de chemise,
Certains dialogues sont bourrés d’humour, tandis que d’autres sont totalement incompréhensibles.
Peut-être aurais-je du lire le bouquin avant d’aller le voir le film…


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