7 % jettent l’éponge
Les conséquences sont lourdes : un tiers de déprime ou dépression, un tiers de gêne et de colère et même 7 % de démission. Même si les agressions violentes verbales et physiques sont moindres, respectivement 6 % et 3 %, elles perdurent et les victimes restent peu soutenues. Dans 68 % des cas, aucune suite à l’égard de l’agresseur n’est donnée.
Secteur public intolérant
Et le secteur privé semble moins discriminant comparé au public où les attitudes homophobes et sexistes sont dénoncées par 22 % de l’échantillon (contre 17 %). Des résultats qui font craindre à L’Autre Cercle « l’exclusion des femmes homosexuelles d’une vie professionnelle « normale », contraintes de faire abstraction de leur vie privée ».
Sur le site de L'autre cercle