Olivia explique "je trouve qu'il y a une certaine beauté dans ce milieu" et cite volontiers ses sources d'inspiration : Araki, Nan Goldin, Ellen Von Unwerth, Christophe Mourthé, Terry Richardson et Robert Mapplethorpe.
Sans vulgariser le sujet et tomber dans le ridicule, elle vise dans son écriture, une certaine esthétique proche des portraits érotiques d’Helmut Newton pour peindre divers passages du roman.
Mais rassurez-vous, le sado-masochisme ne sert finalement que de toile de fond au roman car c’est avant tout la névrose et la paranoïa du personnage d’Héléna ainsi que le basculement dans un milieu qui lui est hostile qui fait l'oeuvre.
Son originalité est d'être illustré, et donc de guider la lectrice dans un monde entre lettres et images, jusqu'aux fantasmes. L’illustrateur Marsorama qu'elle connait depuis dix ans lui avait demandé de commenter des dessins à lui, voilà maintenant qu'il illustre ses écrits à elle. Olivia lui a donc passé une vingtaine de "commandes", choisissant l'angle, le sujet, le passage à illustrer...
Que pensez-vous des illustrations ?
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