Déjà vendredi... Que les semaines défilent rapidement. Si, si, permettez-moi de ne pas laisser de doute planer - je sais que certains sont habités du doute - alors qu'il ne saurait en être question. Les journées défilent à toute allure.
Ce qui nous amène, aujourd'hui, à prendre le temps d'une chronique différente, reposante, stimulante, peut-être même.
Et l'occasion de parler de sexe. Et de sex toys. Et de sexualité. Notez bien que notre chronique est pour tout public. Mais que le livre peut faire rougir les oreilles des plus sensibles. Allez, en route :
Sous la devise « A trop focaliser sur les accessoires, on en oublie l’essentiel », vous l’aurez compris les sex toys sont ici sous les feux des projecteurs. Côté objets utiles, quelques instruments usuels détournés de leur fonction première pour... vous le saurez en temps utile ! Au menu entre autres : l’heure médiane du rapport sexuel du samedi soir (oui, vraiment, c’est scientifiquement prouvé !) ou encore l’utilisation étonnante et stimulante d’une boîte de vitesse automatique. Bienvenue donc dans un monde où toutes les envies sont permises, voire même encouragées, où les clitoris parlent, où les réunions Tupperware sont remplacées par des démonstrations de sex toys, où toute autre aventure est tout aussi croustillante.
Un petit livre donc sans prétention aucune, qui manque toutefois de clarté dans sa construction : la narration est beaucoup trop découpée et le lecteur perd facilement le fil des évènements. Il est parfois difficile de suivre la logique d’Ania Oz, parfois même on n’est pas loin de l’overdose de sexe. À se demander si « Trop de sexe tue le sexe », elle illustre parfaitement le propos dans son texte.