Vous n’êtes pas forcément dans le cas où le coming-ou au médecin s’impose. Certains ne vous laissent pas le temps de vous poser la question, pour certaines maladies, ils vous posent d’emblée la question (ou vous donnent des recommandations) sur les pratiques sexuelles à faire ou pas. Dans les cas de HIV, de cancer du colon ou de MST (IST), d’hépatite ou de syphilis, le médecin considèrera d’office votre potentielle homosexualité et vous demandera certainement de confirmer. Cela fait partie du diagnostic dans le cas de ces maladies particulièrement gay.
Faire son coming-out à son médecin vous permet d’être plus ouverts aux détails de votre vie, de votre sexualité, de votre vie personnelle ou professionnelle (dans le cas de stress, de harcèlement ou d’homophobie, de dépression…). Cela peut permettre d’être plus efficace dans le diagnostic et dans le soin qui vous est proposé.
Donnez au médecin, tenu au secret médical, toutes les chances de mieux vous accompagner.