De la supériorité de la nature féminine

Publié le 23 août 2010 par Julianomessoa
Il semble évident que tout homme qui prétend s'y connaître un peu en matière de sexe est obligé de reconnaître la supériorité des femmes du point de vue de l'extase... et à en être jaloux !!! Ce que je suis, profondément. Comment peut-il en être autrement ? Je viens encore de m'en rendre compte cruellement en quittant ma dernière compagne régulière il y a quelques mois. L'erreur de ma vie ! Je continue de le regretter. Tout ça pour un malentendu de merde, l'histoire classique de celui qui veut avoir le dernier mot. Quel con ! Le retour en arrière semble impossible. Elle approchait la cinquantaine dans un corps de rêve, une enveloppe taillée sur mesure pour l'amour physique. Elle pouvait jouir 10 fois de file en l'espace de quelques minutes ! Par tous les bouts. Et je bandais à mort devant ce spectacle grandiose. Mais quel con ! Je commençais par la lécher méticuleusement, en insistant sur la partie droite de son clito, son point le plus sensible, mon pouce dans le vagin, jusqu'à sentir qu'elle se liquéfiait en même pas 5 minutes de boulot. Le flot arrivait alors en rafale m'obligeant à prendre un peu de recul. Je la laissais tranquille, le temps que les spasmes puissants se calment un peu, avant de la retourner et de la prendre en levrette, ma queue tendue comme un arc, dure, droite et longue comme elle n'avait jamais été auparavant. Le rituel s'était installé peu à peu et elle faisait alors semblant de résister, de dire non à ce pieu qui allait la défoncer, me disant à l'envi qu'elle serait trop étroite, que j'allais la blesser.... ça me rendait fou ! Et je l'enfilais jusqu'au fond pour sentir tout de suite son deuxième orgasme, sans aucun va-et-vient de ma part. Un cri long et sourd qui l'obligeait à mettre les épaules "à terre", le cul encore bien relevé. Je commençais alors mon lent pistonnage, accroché à ses hanches étroites pour lui redonner vie, la sortir de son coma. Et la vie reprenait, effectivement, ses fesses qui se lançaient vers moi pour encore mieux sentir mon gland pétrir le fond de sa matrice. Elle pouvait jouir encore 3 ou 4 fois comme ça avant de fuir mon emprise et de passer sur moi pour enfin contrôler la situation, si on peut dire... Elle s'enfilait alors au plus profond, face ou dos à moi, suivant son envie du moment, et se faisait jouir encore sans que je bouge un cil. Mieux que sur écran géant je profitais du spectacle comme un gamin devant sa première glace. Ma jouissance devenait secondaire, presque sans raison d'être tant elle semblait ridicule devant cette démonstration d'extase total. Et lorsqu'elle s'effondrait enfin, elle n'avait parfois même plus le courage ni la force de me faire éjaculer avec sa bouche ou avec sa main, ce que je ne lui réclamais jamais tant mon compte avait pour moi aussi été fait. Alors je vous le dis, la femme est bien supérieure à l'homme dans la jouissance. Elle y puise davantage de satisfaction et de plénitude, peut la reproduire autant de fois qu'elle le souhaite et la ressentir certainement de façon beaucoup plus profonde que notre vulgaire petite et unique vidange de burnes. Mais quel gros con j'ai été !