Mes besoins étant ce qu'ils sont, il m'arrive d'aller me faire "masser" par une professionnelle de temps en temps, même en période faste. J'appelle période faste, comme vous le comprendrez plus loin dans ce blog, une de celles où je peux avoir pas moins de 3 relations suivies simultanées. Assez incongru me direz-vous. Et bien non ! Comme vous le verrez également plus avant la jouissance féminine est mon moteur, ma raison de vivre, ma nourriture spirituelle. Son spectacle me fascine au plus haut point jusqu'à oublier la mienne, de jouissance, bien ridicule en comparaison. Si on le voulait tout de même la différence entre l'extase féminin que je cultive patiemment et ma vulgaire petite bruine serait équivalente à l'écart de température entre la terre et la lune. J'en oublie même souvent de larguer ma purée, incapable de me concentrer et déjà entièrement satisfait lorsque le spectacle de ma partenaire vociférant s'avère grandiose. Vous comprenez mieux maintenant que j'ai besoin de quelques plages de distraction pour m'abandonner complètement, enfin, sans me soucier de l'autre. Et puis c'est pas très sain de garder tout ça paraît-il. Et là je vous vois venir ! Pourquoi il s'astiquerait pas tout simplement ce blaireau ?! Et bien ça me rappelle trop ma période adolescente où je m'épuisais aux chiottes à coller méthodiquement les 120 pages dédiées à la lingerie féminine du catalogue de la Redoute, avec encollage spécial de la page vantant le pseudo lifteur des rides du visage, en fait un énorme god que la belle avait même du mal à prendre dans la main, son regard de biche effarée rajoutant à mon excitation jusqu'à devoir rester 10 minutes de plus pour effacer les traces de mon méfait sur la porte devant moi. Alors je dis avoir passer l'âge des corvées de chiottes ! Et donc me voilà en rendez-vous avec une nouvelle venue dans ma belle ville du sud de la France. Ah oui ! J'ai horreur également d'aller 2 fois au même endroit, on s'attache et on se met à faire du zèle ce qui revient à penser aussi au plaisir de l'autre, etc, etc... Je la découvre à l'heure dite m'ouvrant la porte de son salon, blonde, grande, mince, sourire ravageur, gentillesse déconcertante, une des plus belles quadra qu'il m'a jamais été donné de rencontrer. Elle venait du Nord, bien sûr, autant de douceur et d'attention n'ont plus cours ici. Mais nos "femmes" en sont-elles responsables ? Ne sont-ce pas plutôt les hommes du Sud, dont je fais partie, qui sont majoritairement des gros cons aussi fins et adroits dans leurs relations aux autres qu'une baleine pataugeant dans une baignoire ? Réfléchissons... Fin de l'aparté. 2 tarifs uniquement, 1 en culotte et l'autre naturiste avec gâterie finale supplémentaire. Je choisis le second, bien sûr, curieux de vérifier ma première impression, celle d'un corps somptueux fait pour l'amour. Je ne me trompais pas, une nouvelle fois. Des jambes interminables, fines et musculeuses, des fesses d'ado haut placées avec un magnifique tatouage baroque épousant délicatement son pubis. Je pourrais souvent y penser dans d'autres situations plus difficiles où l'excitation me délaisse parfois. Penser la prendre doucement en glissant mon sexe au creux de ce ventre divin me sauvera sûrement de quelques épisodes perdus d'avance. Et puis ses seins... Lourds, bien arrimés sur un buste finement dessiné, eux aussi tatoués divinement de motifs floraux entourant les tétons bruns et bien dressés. Un rêve. Auquel je m'abandonnais totalement. J'étais là pour ça. Elle m'invita à m'installer ventre contre la table de massage. J'aurais bien sauté cette étape. Le dos n'est pas une partie très sensible chez moi et je ne pouvais plus admirer sa plastique. Le trou qui accueillait mon visage me permit tout de même de reluquer ses pieds, fort jolis eux aussi. Et puis son massage était d'excellent qualité avec une fantaisie que je ne connaissais pas et qui me ravit une fois le premier moment d'étonnement et de contraction passé. Elle me délivra le plus excitant anulingus que j'ai eu l'occasion de connaître jusqu'à devoir l'interrompre tant mon érection devenait douloureuse dans cette position. Je me retournais donc, au comble du délice, tendu comme un arc. Elle m'entreprit rapidement avec sa bouche voyant que je n'y tenais plus. Je devenais fou effectivement et je lui proposais de monter elle aussi sur la table, tête bêche, pour pouvoir lui dévorer le sexe. Je sortais de mon schéma classique : ne penser qu'à moi, qu'à mon plaisir, en faisant abstraction de tout le reste. Je lui faillis avec délectation. Sa fente était à tomber elle aussi, entièrement lisse et finement parfumée. Je la pris à pleine bouche, langue tendue, fouillant au plus profond que je pouvais, allant et venant entre ses lèvres et son anus. Elle jouit vite et fort. Je la suivais de peu l'arrosant généreusement. Le pied intégral. Celui qu'il faut savoir prendre uniquement de temps en temps, pour ne pas s'en lasser. Celui auquel on pense lorsque les temps sont plus durs. La séparation fut plus professionnelle, chacun de nous retournant dans sa vie avec malgré tout quelques étoiles dans la tête. Les miennes étaient bien brillantes. Je ne serais pas prétentieux au point de penser qu'elle en a vu elle aussi. Peut-être que je vais enfreindre une autre de mes règles : retourner plus d'une fois au même endroit. Merci encore I. pour tous ces instants hors du temps.