la législation européenne interdit toute forme de pratique " inhumaine ou dégradante" auxquels de tels tests peuvent être assimilés et qui peuvent également constituer une violation des dispositions sur le droit à la vie privée.
L'Agence européenne des droits fondamentaux considère que l'utilisation de ces tests est particulièrement inapproprié pour les demandeurs d'asile dans la mesure où "beaucoup d'entre eux ont déjà subi des mauvais traitement en raison de leur orientation sexuelle et sont donc particulièrement traumatisés par ce genre d'exposition"