Émission de télé-réalité, Generation L suit le parcours de 8 filles (donc 8 épisodes) sur fond de fête de Mardi Gras - évènement que la commentatrice qualifie de "biggest gay party in the world"... Tiens, j'ignorais ce petit détail. Pour moi Mardi Gras remonte à l'école primaire, lorsque on se déguisait et qu'on faisait des jeux, genre course de sacs, avant de s'envoyer un méga goûter.
Mais revenons-en à nos lesbiennes. Renée, la fille que l'on suit dans le premier épisode, travaille dans l'évènementiel et est une figure de la scène lesbienne de Sydney (toute ressemblance de cast avec Mickey de The Real L Word étant "obvious"). Renée nous explique que c'est son premier Mardi Gras avec sa copine Sarah. Le problème, c'est qu'elle y croise un ex. ... Une partie des dialogues (vu la prise de son pourrie en boîte de nuit), en l'occurrence la conversation avec l'ex, sont sous-titrés. Ce qui nous permet de savoir que :
- dans une fête lesbienne à Sydney you can't screw the crew (faut pas coucher pas avec le staff)
- on apprend qu'une town bike [ moto de ville] qualifie une femme que tout le monde peut "monter". Une coucheuse, quoi.
- mais on découvre que Renée n'est pas une town bike parce no one rides on top of her, en gros c'est pas la fille du dessous. C'est moi ou l'humour lesbien australien est lourdeau ?
Voilà à peu près la quintessence de ce premier épisode qui a pour gros avantage de durer tout juste plus de 4 minutes.
Via AfterEllen.