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Les bienfaits du nombre...

Publié le 11 avril 2011 par Julianomessoa
Après ma dernière rupture difficile d'avec A., dont vous trouverez les détails plus loin si vous êtes curieux, et qui me laissa sans vie, me réveillant tous les jours durant des mois avec l’impression d’être amputé d’un membre, je décidai de me prendre en main. L’alcool me rendait malade, la drogue me faisait peur, le travail ne me distrayait plus. Je me vautrerai donc dans le sexe. C’est ainsi que je me découvris libertin, moi qui avais la trouille d’aller nourrir ma curiosité dans un club ou un sauna quelconque, persuadé d’y perdre mes moyens. L’approche sur le net était bien plus facile, les rencontres naturelles et sans prise de tête ni nécessité de connaître les codes. Je rencontrai très vite un couple charmant et sensuel. Ma première expérience de ce type. Natacha approchait la cinquantaine dans un corps de trente ans, insolent, des jambes à tomber, des seins parfaits et naturels, haut perchés tout comme ses fesses délicieuses. Une vraie déesse. Son mari, plus jeune de dix ans était tout aussi charmant. Ils s’aimaient, étaient joyeux et engageants. Je les avais invités chez moi. Champagne, musique soul et lumières adéquates. La soirée passa dans un rêve. Cette première expérience fut incroyable. Je devais être déjà préparé à la chose. Tout s’enchaîna merveilleusement. La discussion à bâtons rompus, la découverte de chacun, la décontraction et le feeling évidents. Après 2 heures déjà fort agréables de bavardages, les regards se firent plus complices, la conversation plus précises sur l’envie d’aller plus loin. C’est Antonio qui lança le signal en caressant la cuisse de sa femme jusqu’à relever sa petite robe me laissant découvrir de mon fauteuil ses bas et sa culotte noirs. La robe s’envola comme par magie et on me fit une place à côté de la dame sur le canapé qu’ils occupaient en face de moi. Je la caressais à mon tour sur le haut de sa cuisse découvrant le grain soyeux de sa peau, puis le parfum de sa langue dans un long baiser très sensuel, d’une douceur infinie. Elle était très excitée. Je leur indiquais la direction de la chambre que j’avais préparée au cas où. Bougies et encens s’y consumaient déjà. J’avais tout prévu pour que l’excitation ne tombe pas.
Natacha s’assit sur le lit et entreprit de me déshabiller dans les règles de l’art. Elle avait gardé ses bas, sa culotte brésilienne et son soutien gorge. Elle était craquante. Un piercing charmant au nombril, un ventre plat et musclé, des bras et des jambes graciles et superbement dessinés. J’étais debout devant elle, dans tous mes états. Elle le sentit et décida d’abréger mes souffrances en me libérant rapidement de mon pantalon. Mon sexe surgit devant ses yeux comme un diable de sa boîte, se balançant plusieurs fois lourdement de bas en haut. Elle semblait apprécier le spectacle mais décida d’y mettre fin avec sa bouche dans une longue et profonde fellation, une main sur la base de ma queue et une autre sous mes bourses, sa langue tournant autour de mon gland avant de m’avaler jusqu’à la gorge, alternativement. La pipe parfaite. Mes jambes ne me tenaient plus et je dus bientôt m’allonger à côté d’Antonio qui s’était déjà mis à l’aise tout seul attendant amusé la suite du programme. Nous eûmes droit au lent déshabillage de Madame, sensuel et provoquant. Nous bandions à mort tous les deux. Elle se régalait du spectacle, un sourire aux lèvre, encore indécise du choix délicieux qu’elle allait devoir faire et qu'elle ne fit pas s'allongeant doucement entre nous 2.
Je pris l'initiative en lui enlevant délicatement sa culotte puis en lui embrassant le sexe avec gourmandise. Elle était déjà fin prête et aussi excitée que nous. Mon doigt se glissa facilement jusqu'au siège de son point G que je massai circulairement tout en lui léchant son clitoris de façon douce mais appuyée. Au bout de quelques secondes elle échappa brusquement à mon étreinte. Je compris qu'elle ne voulait pas jouir trop vite et la laissai tranquille un moment. Elle en profita pour embrasser Antonio et le prendre en bouche pour une lente fellation appliquée. Elle se mis à genoux pour être plus à l'aise. Je me délectais du spectacle. Bientôt je la vis tendre ses reins de façon plus insistante et je compris que la position qu'elle avait prise n'avait rien à voir avec une quelconque recherche de confort. Elle voulait que la prenne. Je m'exécutai précipitamment, confus de ne pas avoir compris le message plus tôt. Je bandais à mort. Je la pénétrai doucement mes mains sur ses reins cambrés pour sentir chaque centimètre de ma queue épouser parfaitement les parois humides de son sexe. Le bonheur. Arrivé au bout de ma course je décidai de cogner rapidement le fond de sa matrice, sans excès ni violence. Bingo ! C'est ce dont elle avait besoin. Un long râle accompagna mes derniers va-et-vient et elle s'effondra sur le lit, prises encore de sursauts, savourant cette jouissance qu'elle avait retenue. Antonio et moi nous regardâmes de façon entendue. "Tu as de la chance Antonio d'avoir une telle femme", lui dis-je le plus sincèrement du monde. "Je sais", répondit-il avec autant de sincérité, "C'est pour ça que j'en fais aussi profiter les autres". Une façon bien sympathique de me souhaiter la bienvenue dans le monde du libertinage ! La suite fut tout aussi sensuelle, plus hard par moment, et la fin de cette soirée mémorable ne fut scellée que par nos jouissances quasi synchrones, Antonio prenant sa femme en levrette et Natacha me vidant les bourses d'une pipe énergique. "Wahooo", a été le seul mot que je pus prononcer quelques minutes après, encore groggy du gnon que j'avais pris dans la gueule. Que ce fut bon, quelle bonne humeur, quelle sensualité, quelle morceau de vraie vie.
J'en revoulais ! et rendez-vous fut pris quelques jours plus tard. Natacha et moi avions intrigué par chat interposé dans le dos d'Antonio. Il rêvait d'une belle rencontre à 4, leurs expériences avec d'autres couples ayant été jusqu'ici très décevantes. Je décidais d'inviter V., une amie ouverte d'esprit que vous rencontrerez, chers lecteurs, un peu plus loin dans ce récit. Ce serait la surprise d'Antonio.
V. arriva bien avant l'heure du rendez-vous dans une tenue hautement sexy qui me fit douter de ma capacité à rester sage jusqu'à recevoir nos convives. 172cm et 59kg de grâce dans une robe courte hyper moulante arrivant à la hauteur exacte de l'élastique finement argenté des bas qui gainaient ses jambes interminables et bien galbées. Une seule envie, remonter doucement la robe, ce que je fis peu après son arrivée avant même de l'inviter à s'asseoir. Une merveille de dentellerie se cachait difficilement dessous, à savoir le plus joli string qu'il m'ait été donné de voir, séparant merveilleusement ses fesses pleines et soyeuses. Quelle belle surprise se serait !
Natacha et Antonio arrivèrent enfin. Et Antonio fut surpris, effectivement ! Natacha et moi nous régalions à l'avance de notre petite mise en scène qui prenait forme sous nos yeux. V. plaisait au deux. Champagne, discussion agréable et décontractée, et je lançais les hostilités, n'y tenant plus. J'embrassais V. profondément en lui caressant le haut des cuisses. Nos invités nous regardèrent amusés et bientôt hautement excités eux aussi. Le salon ne pouvait plus suffire à nos agapes. Des rires joyeux nous accompagnèrent jusqu'à la chambre où tout le monde se mis à l'aise dans un temps record. V. n'en pouvait plus et me sauta dessus sans que je puisse prendre la moindre initiative. Elle jouit plusieurs fois en quelques minutes comme elle avait l'habitude de le faire. Cette femme était un spectacle vivant à elle toute seule. Je ne m'en lassais pas. J'étais à chaque fois comme un enfant qui allait pour sa toute première fois au cirque. La regarder suffisait à mon plaisir, ma propre jouissance devenait secondaire. Natacha et Antonio savouraient le spectacle eux-aussi tout en s'embrassant l'un l'autre. Il fallait malgré tout rester polis et je décidais de me rapprocher de Natacha laissant V. découvrir Antonio...et inversement. Ils ne leur fallut pas bien longtemps pour s'entendre parfaitement et nous vîmes Antonio très excité pilonner V. en tous sens et V. perdre le contrôle de la situation dans une modulation incroyable de râles évocateurs. Natacha et moi allions à notre rythme, plus doux, plus sensuel, amusés du contraste. Moment hors du temps, à imprimer dans nos mémoires. Les partenaires changèrent une dernière fois et Natacha et moi nous lâchâmes enfin dans les bras de nos partenaires attitrés, ayant retenu notre jouissance ensemble, sur la réserve, ne voulant pas déranger. Bien belle soirée conclue autour d'un dernier verre qui permit de partager encore les sensations ressenties. Je comptais bien aller encore plus loin dans ce monde que je découvrais et qui pourtant me semblait déjà familier.

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