Etude sexualité : les végétariens plus enclins au sexe oral

Des étudiants de l’université d’Harvard ont utilisé un site de rencontre pour mener une enquête ayant pour objectif de révéler les grandes tendances de la sexualité en 2011. Les résultats sont étonnants, voir déconcertants

Le Site de rencontre OkCupid a été la source d’étude des majors de la célèbre université américaine Harvard ayant choisi de faire de la séduction et la sexualité des sujets de statistiques. Les résultats ont été rendus publics et révélés dans un article du NaTimes, relayé par le DailyMail.

Les constats  de l’étude

Les étudiants ont décortiqués le fonctionnement des sites de rencontres dit « par affinité », en y révélant que les questions au premier abord innocentes comme « Seriez-vous prêt(e) à partir dans la minute pour un voyage improvisé ? » révèlerait des profils bien distincts. En effet ce profil aventureux et ouvert d’esprit traduirait en fait un plus grand risque d’infidélité !

L’étude ne s’arrête pas là : les femmes recevraient 1,5 fois plus de message par mois en exposant leur plastique sur leur photo, contrairement aux messieurs qui auraient  plus de succès en restant « distant » sur leur photo. La musculature d’un homme ne serait plus une arme de séduction auprès des jeunes femmes après un certain âge. L’étude marque aussi la sincérité des femmes dans leurs profils contrairement aux hommes pour qui les mensurations et le salaire seraient revus à la hausse.

Des résultats parfois insolites

L’étude met en avant des graphiques qui nous révèlent des tendances inattendues. On apprend entre autres que les végétariens confessent d’avantage aimer la pratique du sexe oral. Les personnes de confession juive sont les plus nombreuses à déclarer ne s’être jamais masturber. Les femmes entre 18 et 25 sont plus enclines que les hommes du même âge à la brutalité dans les relations sexuelles, et cette tendances’inverseraient avec le temps.

Face à ces révélations les spécialistes restent mitigés entre ceux qui s’avouent être favorables à une interprétation positive de l’étude, et d’autres affirmant que les résultats pourraient être erronés et loin de la réalité.

Nassabia Ali