J’ai trouvé cette information sur le site Sextoyer qui nous indique qu’on pourra désormais
retrouver des sextoys dans le bureau de tabac.
C’est en tous cas ce qu’à chercher à développer un buraliste à Argeles sur Mer.
Vous pouvez retrouver le reportage qu’a consacré BFM sur le sujet.
Un buraliste vend des sex toys pour sauver son... par BFMTV
Dans le reportage, on constate qu’une vendeuse à l’air dédié à cette extension de boutique. Gageons qu’elle connaisse les produits et leurs
caractéristiques.
Si le buraliste s’est lancé dans ce commerce, c’est pour développer son chiffre d’affaire. Ainsi, d’un point de vu économique, je doute que la vendeuse est été
recrutée pour cette activité spécifique. Mais peut-être aura-t-elle été formée.
BFM termine son reportage en indiquant qu’au moins, les sextoys (comparés aux cigarettes) ne sont pas mauvais pour la santé !
Les questions qui me viennent à l’esprit se bousculent : quel conseil peut apporter un buraliste à la vente de sextoy [et de lingerie dans ce cas] ? Connaît-il la
différence entre un lubrifiant à base d’eau et un lubrifiant à bas de silicone ? De quelle matière sont les sextoys qu’il propose ? Contiennent-ils des phtalates ?
C’est une chose qui me met en colère au même titre que certains bars ou boîtes organisent des soirées sextoys.
Dans peu de temps, on pourra faire réparer notre voiture chez notre buraliste et acheter du pain dans un sexshop…