Sa poitrine imposante est traitée comme un produit de consommation sur lequel il ne manquerait plus qu’un sticker avec inscrit « baisez-moi, je suis faite pour ça ». Le traitement de la lumière est aussi grossier que les sous-vêtements portés par Sophie Howard et l’ensemble confine au cliché sado-maso autour d’une jeune femme prête à se mettre à nue devant la force virile.
Avec ces instantanés d’érotisme vulgaire on se rend compte à quel point la femme dans nos sociétés occidentales peut encore très vite devenir un objet dont la valeur se mesure à son efficacité commerciale.
-Biographie de Sophie Howard