Mythe ou réalité, assimilé à une quête du Graal en raison de ses vertus orgasmiques, le point G a fait couler beaucoup d'encre depuis sa découverte en 1950.
Difficile à trouver
Depuis sa découverte dans les années 50 et jusque dans les années 80, faute d'étude sur le sujet, on croyait que seul le clitoris était responsable du plaisir. Si la découverte du point G a permis de battre en brèche cette croyance, les femmes seraient encore 65% à ignorer son emplacement. Car si toutes possèdent des zones de sensiblité, celles-ci ne se trouvent pas nécessairement au même endroit. Pourtant, de nombreux scientifiques s'accordent aujourd'hui sur l'existence réelle du point G.
Positions
Le point G ou point de Gräfenberg, du nom de l'obstétricien allemand qui l'a mis au jour, représenterait une zone érogène très sensible qui, stimulée, permettrait d'atteindre un plaisir sexuel intense et décuplé. Située à l'entrée de la paroi supérieure du vagin, cette petite boule palpable aurait la taille d'une pièce de deux euros et la capacité de se gonfler en étant stimulée lors de l'acte sexuel. Pour y parvenir, le point G doit être stimulé manuellement ou grâce à certaines positions. Les zones sensibles à l'avant du vagin sont en effet plus sollicitées si l'homme est derrière la femme ou si celle-ci le chevauche.
Dans tous les cas, sa localisation demande de la patience, de la complicité et une bonne connaissance de son partenaire. La femme ne doit pas hésiter à guider son partenaire dans les méandres de son anatomie. Il est par ailleurs avéré que plus le vagin est musclé, plus l'orgasme est important. A bon entendeur... ( 7/7 )