Bovary tu as personnifiée.
Le film tu as illuminé.
La salle tu as figée.
Des taches de sons sur le visage,plantureuse à la taille fine.
La féminité à son paroxysme.
Tombé sous le charme de tes courbes pleines, tes monts et tes vaux m'ont tourné le tête.
Tes yeux promesse de douceur, de mille délices.
Tel Niels, je rêve de te couvrir.
D’exprimer mon désir.
De te sentir sous moi haletante, frémir de plaisir.
De te culbuter sur le canapé.
Te clore les yeux et mordre les lèvres dans un soupir de volupté.
Te voir saisir le drap de délice.
Te consumer sous mes coups de butoir. Te faire renverser cupidon.
D'assister au retrait de ton imperméable, de t'apercevoir en dentelles.
Te faire jeter aux loin tes talons aiguilles.
Et ensuite te voir t’éloigner dans ta robe à fleurs, les cheveux dans le vent.
Ah, si j'étais réalisateur...