Saint Jean en Corse, sur la place du village, en grande discussion, mes collègues draguent une locale.
Premier regard ; je t’aperçois t'approcher à grand pas, revêtue de ta robe fourreau noire, qui te moule comme une seconde peau.
Le coup de foudre est instantané.
Après un interminable mois de drague, tu viens me chercher à la sortie de la salle de musculation. Tu me proposes d'aller manger chez ta grand-mère. Innocemment, j'accepte sans arrière pensée. Tu es splendide dans ta robe d'été aux boutons, courant tout le long de ton corps souple.
Après le bol de riz du repas, assis sur le canapé, tu prends l'initiative de te placer à califourchon sur moi. Instantanément, mon cerveau rentre en ébullition. Nos bouches se trouvent, nous enlaçons nos langues dans un balai frénétique. Mes mains caressent ta taille fine, l’évasement de ton dos. Elles se glissent sous ta robe légère, cheminent sur ta colonne, filent sur tes fesses rebondies et fermes.
Ma queue est dure comme fer.
Tu me proposes de retirer ta robe. Mes doigts ouvrent les boutons. Tu te redresses, ton vêtement glisse au sol. J’aperçois tes petits seins exquis, démunis de soutien gorge. Tu prends ma main et me tires vers la chambre. J'admire ta silhouette parfaite devant moi.
Tu t'allonges sur le lit, bras tendus en arrière, la tête penchée sur le coté.
-Déshabilles toi, chuchotes-tu, et viens.
Allongé à tes cotés ma bouche, explore le moindre centimètre carré de peau. Je peux enfin connaître le corps d'une femme. Tu te laisses parcourir de mes mains, de mes lèvres, alternant soupirs et petits gloussements quand j'arrive sur une terre plus sensible. Je prends mon temps, je ne veux rien louper de ce corps magnifique, tant désiré. Tu roules sur le ventre et t'offres à moi. Mes dents mordillent le bas de tes fesses. Tu te retournes puis me plaques sur ton sexe humide. Mes doigts se glissent en toi, trouvent tes sensibilités. Tu me supplies d'enfin te prendre. Mon hésitation te fais comprendre mon inexpérience.
Tu me pousses délicatement sur le dos, et prends les choses en mains. Tu places mon sexe devant ta chatte, et le guide pour les premiers pas. Ma verge suffisamment introduite, tu t’accroupis et l'engloutie. Tu bouges lascivement sur ma verge, chaloupes sur mes hanches. Tu aimes ça, et fermes les yeux. Ta respiration s'accélère. Tu souris. Rouvres les yeux.
Tu me voix sur mes coudes, en train de t'observer.
-Mais tu ne sens rien, me dis-tu, incrédule ?
-Non, répond-je.
Rideau